Nous voulons abaisser les seuils ressentis par les victimes pour déclarer les faits de violence. Nous le faisons en coopération avec le groupe de recherche de l'UCL. Nous interrogeons à la fois les victimes et les professionnels sur les obstacles qu'ils rencontrent et sur la manière dont ils peuvent être levés. Ensuite, avec la police locale, nous élaborons une offre et mettons en place des actions pour qu'à l'avenir, il soit plus facile pour les victimes de VIF de se rendre à la police.
Nous nous engageons fermement à établir et à renforcer la coopération entre différents partenaires professionnels. En impliquant activement les partenaires professionnels dans notre projet dès le début, nous voulons, d'une part, détecter plus rapidement la VIF et, d'autre part, engager les actions nécessaires sur la base des signaux.
Le parquet a la possibilité d'imposer une interdiction temporaire de domicile à une personne qui représente un danger grave et immédiat pour les autres résidents. Nous voulons développer une offre concrète pour les personnes qui ont l'interdiction de domicile, afin de réduire le risque de violation de cette interdiction.